19.2.12

Le vrac

Il est long le février des bissextiles.





* On connaît Le Bathyscaphe, journal d'inactualité culturelle de fiers marins auquel L'Oie de Cravan a le bonheur d'être associé. Il faut maintenant compter avec la Bathysphère qui en est issue. Il s'agit d'un appareil d'exploration léger, offert gratuitement et photocopié, qui va permettre à l'équipe du Bathyscaphe de bouger parfois avec un peu plus de rapidité. Le premier numéro est sorti : il est consacré au mouvement d'occupation qui a essaimé au cours de 2011. On peut se le procurer en version papier auprès de l'équipe du Bathyscaphe ou le consulter en pdf en cliquant juste ici. On s'occupe comme on peut.
On peut également lire en ligne la version complète de l'entretien réalisé par Hermine Ortega avec Mark Read, un participant de Occupy Wall Street.

* Dominic Tardif a réalisé une courte entrevue avec Michel Garneau au sujet de son merveilleux livre Le Sacrilège : ici.

* Kiva Stimac a réalisé une courte entrevue avec L'Oie de Cravan au sujet de L'Oie de Cravan. C'est en anglais, ce qui n'explique rien mais excuse tout : ici.

* L'Oie de Cravan voyage : curieusement nous serons au Salon du livre de Paris, du 16 au 19 mars, stand U51, avec un respectable échantillon de nos publications. Venez.
Encore plus curieusement, nous serons également présents à Shelf life 2 : A big day for Small Press à Los Angeles le 24 mars. Mais venez donc !
Il faut noter que c'est l'excellente Isabelle Mandalian qui nous représentera à Paris tandis que Benoît Chaput se chargera de la cité des anges perdus.

* L'Oie de Cravan coédite. C'est vrai ! Après la belle expérience de Typographie Inusuelle avec Finitude l'année dernière, voilà que nous préparons un Schasslamitt, recueil de contes épatants de Bérengère Cournut, avec les amis des éditions Attila. C'est à suivre.

* L'Oie de Cravan codiffuse. C'est vrai ! Nous sommes, fort heureusement, toujours distribués et diffusés par Dimedia au Canada (et les Belles Lettres en France), mais nous nous sommes associés à quelques vaillants amis pour donner un coup de pouce à la diffusion en usant d'une propagande active et sans vergogne. Cette association de malfaiteurs a pris le nom de « Dynamomachines », ceci afin de donner le change, et on peut visiter le site de la bande ici.

Voilà qui termine ce long bulletin d'un février des bissextiles.


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